#8034
Quand on s'attend au pire, le moins pire a une saveur toute particulière, que vous dégusterez avec plaisir, même si ce n'est pas le meilleur. (Agnès Ledig, Juste avant le bonheur, Pocket, p. 169)
#8035
[...] rien ne marque autant un lecteur que le premier livre qui s'ouvre vraiment un chemin jusqu'à son cœur. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 16)
#8036
Un secret vaut ce que valent les personnes qui doivent le garder. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 19)
#8037
- Quel âgé a ce jouvenceau ? s'enquit-il en me dévisageant avec intérêt.
- Presque onze ans, déclarai-je.
[...]
- C'est-à-dire dix. Ne te rajoute pas des années, vaurien, la vie s'en chargera bien assez tôt.
(Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 22)
#8038
Il n'y a pas de langues mortes, il n'y a que des cerveaux engourdis. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 25)
#8039
Pour moi, la lecture était une obligation, une sorte de tribut à payer aux professeurs et aux précepteurs sans bien savoir pourquoi. Je ne connaissais pas encore le plaisir de lire, d'ouvrir des portes et d'explorer son âme, de s'abandonner à l'imagination, à la beauté et au mystère de la fiction et du langage. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 41)
#8040
[...] dans le commerce des livres il faut se méfier de tout, même d'une table de matières. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 45)
#8041
La luxure est un vilain péché [...]. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 65)
#8042
Paris est la seule ville du monde où mourir de faim est encore considéré comme un art. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 94)
#8043
Les cadeaux sont donnés pour le plaisir de celui qui les offre, pas pour les mérites de celui qui les reçoit [...]. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 107)
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