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#5902
Le monopole, c'est le dogme. (Georges Clemenceau)
#2195
Il y avait des graines terribles sur la planète du petit prince... c'étaient les graines de baobabs. Le sol de la planète en était infesté. Or un baobab, si l'on s'y prend trop tard, on ne peut jamais plus s'en débarasser. Il encombre toute la planète. Il la perfore de ses racines. Et si la planète est trop petite, et si les baobabs sont trop nombreux, ils la font éclater. (Antoine de Saint-Exupéry, Le Petit Prince)
#4891
On se sent parfois comme deux et deux qui ne font pas quatre. (Stanislaw Jerzy Lec, Nouvelles pensées échevelées)
#5292
Il faut écrire pour soi, c'est ainsi que l'on peut arriver aux autres. (Eugène Ionesco, Notes et contre-notes)
#2387
Les maladies du coeur, aussi bien que celles du corps, viennent à cheval et en poste, mais elles s'en revont à pied et au petit pas. (François De Sales)
#4065
Ne prenez pas la vie au serieux; de toute façon vous n'en sortirez pas vivant. (Bernard Fontenelle)
#67
C'est peut-être ça, l'amour: un visage autour de soi qui se multiple, alors qu'on est seul! (Georges Schéhadé)
#636
Nul ne peut être déclaré heureux s'il est en dehors de la vérité. (Sénèque, La brieveté de la vie)
#1269
La nature du roman, si elle était connue, les romans seraient faits par ordinateur. (Pierre Bourgeade, Warum)
#2636
Combien de sang l'innocent devra-t-il verser, avant que l'humanité se réveille et voie le monde tel qu'il est ? (Dominic Devost)
#6732
Le départ de l'être aimé laisse un vide que rien ne peut combler dans le coeur de celui qui reste (Patrice Rodriguez)
#3871
On jugerait bien plus sûrement un homme d'après ce qu'il rêve que d'après ce qu'il pense. (Victor Hugo)
#3318
Il me suffit désormais de fermer mes paupières pour te voir, cesser de respirer pour sentir ton souffle. Alors écoute: où que je sois, je devinerai tes éclats de rire, je verrai les sourires dans tes yeux, j'entendrai les éclats de ta voix. Savoir simplement que tu es là quelque part sur cette terre sera, dans mon enfer, mon petit coin de paradis. (Marc Levy)
#5338
Celui qui est assis sur un cactus ne craint plus le mal de dent (Thierry BROCHERAY)
Commentaire :
#1100
Ce que je sais pour demain, c'est que la Providence se lèvera avant le soleil. (Lacordaire)
#6227
Bêtise humaine. "Humaine" est de trop: il n'y a que les hommes qui soient bêtes. (Jules Renard, Journal - 21 mai 1898)
#1085
Par l'ennui chassé de ma chambre.
J'errais le long du boulevard;
Il faisait un temps de décembre,
Vent froid, fine pluie et brouillard. (Théophile Gautier, Emaux et Camées)
#6209
[...] rien qui conserve la jeunesse comme de garder un secret. (José Saramago, Le Dieu manchot)
#5879
Voyager, c'est naître et mourir à chaque instant. (Victor Hugo, Les Misérables)
#6139
[...] le terrorisme mathématique. Celui-ci consiste à utiliser le prestige des mathématiques dans le but de confondre, tromper ou autrement embrouiller les gens à qui l'on s'adresse. (Normand Baillargeon, Petit cours d'autodéfense intellectuelle)



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