#8054
Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites. Mais il ne vient pas vous démarcher à domicile. Il faut aller à sa rencontre. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 314)
#8055
[...] aimer vraiment c'est aimer en silence, avec des actes et non des mots. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 367)
#8056
Le sot parle, le lâche se tait, le sage écoute. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 407)
#8057
La mort a toujours cet effet : elle ne laisse personne à l'abri de la sensiblerie. Face à un cercueil, tout le monde devient bon et ne voit plus que ce qu'il a envie de voir. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 412)
#8058
L'attente est la rouille de l'âme. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 438)
#8059
Nul n'a autant de compassion pour un menteur qu'un autre menteur. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 451-452)
#8060
Le vin fait du sage un idiot et de l'idiot un sage. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 493)
#8061
Il n'y a pas de seconde chance, sauf pour le remords. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 499)
#8063
La difficulté n'est pas de gagner de l'argent [...]. La difficulté est de le gagner en faisant quelque chose qui en vaille la peine. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 515)
#8064
Le temps m'a appris à garder l'espoir, mais à ne jamais lui accorder une confiance excessive. L'espoir est cruel et vaniteux sans conscience. (Carlos Ruiz Zafón, L'Ombre du vent, Pocket, p. 615)
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